Hyppolite (en cours)

Nom (Facultatif): /
Prénom : Hyppolite
Âge : 28 ans
Race : Humaine
Taille : 1m51
Poids : 44 kg



Caractère : Pour commencer dans le vif  du sujet, Hyppolite n'est guère le genre de femme à se faire des amis facilement. Elle est très méfiante et il faudra soit s'accorder sa confiance, soit qu'elle vous trouve quelque chose d'intéressant pour lui décrocher ne serait-ce que l'ombre d'un sourire. Elle paraît froide, mais c'est surtout un air qu'elle se donne pour ne pas souffrir. Elle n'a jamais eu besoin du soutien de qui que ce soit pour avancer dans la vie, et ce qu'elle est devenue, c'est à elle seule qu'elle le doit. Franche, elle n'hésitera pas une seconde à vous dire ces quatre vérités sans mâcher ses mots. Elle aime sa liberté par dessus tout, elle refuse toute entrave pouvant être un obstacle à cela, se plaçant parfois elle-même au dessus des lois, s'il le faut. Elle a ses opinions et rien ne peut la faire changer d'avis, sauf si on lui prouve par A+B qu'elle a tord.

Quelques qualités malgré tout... Elle est sociable, dans le sens qu'elle acceptera de parler de tout et de rien, du moment que l'on aborde pas le sujet de sa vie privée, qui, selon elle, ne regarde personne d'autre qu'elle-même. Elle est d'une grande compréhension, et le peu d'amis qu'elle peut avoir peuvent compter sur elle, à n'importe quel instant du jour et de la nuit, pour peu qu'elle soit dans les parages. Elle n'ira jamais se mêler des affaires qui ne la concernent pas, mais est toujours prête à défendre quiconque, selon ses critères, serait victime d'une injustice. Elle sait se défendre, et la peur ne fait pas vraiment parti des sentiments qu'elle peut avoir régulièrement. Prudente, elle réfléchit toujours avant d'agir, ce qui peut faire d'elle une fine stratège ou le plus redoutable des assassins.



Physique : La première chose que l'on remarque, c'est qu'elle est petite... Très petite. Quelques personnes ont d'ailleurs eu l'impolitesse de la surnommer "la naine", mal leur en a pris car elle les a pourfandus de son épée la seconde suivante. Mais en effet, sa petite taille pourrait la faire prendre pour une enfant ou une jeune adolescente. Et son air de poupée de porcelaine n'arrange rien. Le teint pâle, ses petits yeux verts en amande et ses cheveux roux, raides, tombant au milieu de son dos pourraient la faire passer pour la plus innocente et la plus vulnérable des créatures vivantes en ce bas monde. Mais, l'habit ne fait pas le moine, dirons-nous. Seules ses formes féminines, normalement proportionnées au niveau de son métabolisme, peuvent la vieillir de quelques années... Pas assez pour atteindre son âge actuel. On pourrait lui donner au mieux, une vingtaine d'année et encore.

Le plus souvent, elle attache ses cheveux sur sa nuque avec un épais ruban noir, les tressant parfois, mais cela reste rare. Il est plus que rare qu'Hyppolite se vêtisse de robes et de fanfreluches, et elle le fait en général contrainte et forcée. Non, elle aime les vêtements qui la qualifient. En général une chemise d'homme, un pantalon de corsaire et des bottes montantes suffisent à son bonheur... Et quand elle se prend d'une envie de féminité, il lui arrive de mettre des chemisiers cintrés. Mais elle préfère le ample, pour le confort, et il peut arriver qu'on la prenne pour un jeune garçon dans cet accoutrement, surtout quand elle porte des armes comme sa rapière ou son sabre. Elle n'omet jamais de se parfumer, quoi de plus ragoutant qu'une personne puante, et tient à son hygiène corporelle, qu'elle avait imposé à tous ses hommes, autrefois.

Mine de rien, elle a beau être une petite jeune femme à l'allure frêle, elle est plutôt forte de sa personne. Avec l'entraînement, elle a acquéri une souplesse et une dextérité dont peu d'hommes sont capables, et la force nécessaire pour manier ses armes. Elle est musclée, mais pas trop, cela se voit surtout lorsqu'elle se bat, sa grande agilité équilibrant le manque de force musculaire qu'elle peut avoir. Toute personne la connaissant la craint en combat singulier. Ils n'oublient pas qu'elle est une pirate, voleuse et assassin à ses heures perdues, et malgré son apparence juvénile, toute personne la connaissant gardera une main sur sa bourse et ne restera pas à portée de lame.

Histoire :"Cap'taine ! Cap'taine ! La dame a donné naissance ! Vous avez un héritier. Doc vous fait demander d'urgence."

Le capitaine Eralm Borlock, pirate de son état, avait trouvé, il y avait quelques mois de cela, une jeune femme parfaite pour lui donner un héritier digne de son équipage et de son navire, une fois qu'il serait mort. Bien entendu, il ne lui avait pas demandé son avis, puisqu'elle était prisonnière, elle devait se plier à ses bonnes grâces. Et, selon lui, elle n'avait pas à se plaindre, puisqu'elle était la seule à être encore en vie... Pas pour longtemps, bien entendu. La quarantaine, brun, les yeux émeraudes, il portait un bandeau sur l’œil gauche, qu'il avait perdu lors de l'une de ses batailles, quelques années auparavant. Son tricorne visser à son crane, il se leva et regarda le jeune marin qui avait forcé sa porte pour une bonne raison, pour une fois.

"Va, je vais rejoindre le port seul."

Une femme à bord portait malheur, tout le monde le savait. C'était pourquoi il gardait cette jeune femme prisonnière dans sa demeure du port, gardée jour et nuit par des hommes avisés de la situation, éveillée, et sobre aux moments de leurs services. Il y avait veillé personnellement. Cela faisait plus de huit mois qu'il n'avait pas pris la mer pour veiller à ce que son projet soit exécuté. Et il n'avait rien à craindre puisque cette île, aussi petite soit-elle, lui appartenait.

Le soleil se couchait quand il arriva au chevet de cette femme. Elle serrait contre elle un enfant, roux, comme elle, petit et mince. L'homme qui lui servait de docteur, vint à sa rencontre, l'air soucieux.

"Que monsieur me pardonne, mais... C'est une petite fille."

Il n'en fallait pas plus à l'homme pour froncer les sourcils. Cela ut très furtif car il se remit immédiatement de ses émotions. Au diable les superstitions des pirates. Lui même n'en avait que faire. C'était surtout ces hommes qui s'en inquiétaient. Et ils n'oseraient pas se rebeller pour une si petite chose... Ils angoisseraient certainement, mais de là à préparer une mutinerie contre celui qui avait toujours tout fait pour eux, certainement pas.

"Que ce soit un garçon ou une fille, peut m'importe, je l'élèverai comme je l'entends. Disparais, à présent."

Mystérieusement, l'homme mourut quelques jours plus tard, emportant avec lui le secret de l'enfant, que le capitaine avait appelé Hyppolite, un prénom d'homme pour une petite fille lui avançait un bien étrange destin, sans aucun doute.


La petite fille resta auprès de sa "mère" pendant près de six années. Il avait laissé à la jeune femme la vie sauve, à la condition qu'elle fasse tout ce qu'elle lui demande... Et en priorité, élevé la petite Hyppolite comme un garçon. Celle-ci lui obéissait, bien entendu, la petite rouquine était toujours vêtue telle un petit homme, mais, plus les années avançait, plus elle appris également à la petite fille qu'elle n'était pas un garçon, même si elle en avait allure. Elle avait beau être petite, elle ne comprenait pas tout, mais elle avait la distinction, sa mère l'y ayant un peu forcée. Mais, de toute l'insouciance de son âge, elle s'en moquait comme de sa première chemise.

Elle fut éduquée, lecture, histoire, mathématiques, son père ne laissait rien au hasard. Il la destinait certes à un destin criminel, mais ne voulait pas en faire une pauvre d'esprit. Il la prit à bord le jour de ses six ans. Deux de ses hommes avaient été des professeurs et lui apprirent tout des subtilités des langue, des chiffres, de la poésie et des pays lointains. Toutes ces histoires de voyage la fascinaient, et son père lui racontait souvent ses propres traversées, ne lui cachant pas les détails sanglant. Il voulait faire d'elle une femme avec le caractère d'un homme, à défaut du physique. Il prit en charge son éducation criminel, l'entraînant à voler et à se battre, tout comme l'aurait fait un garçon de son âge.

A huit ans, son père sut qu'elle ne serait jamais grande, bien au contraire. Elle avait la taille et le gabarit d'une fillette de cinq ans. Ce qui ne serait pas pratique en cas de bagarre. Elle savait utilisé ses poings, mais sans entraînement, elle ne ferait certainement mal à personne. Il intensifia donc les efforts physiques, et la pauvre demoiselle s'épuisait, jour après jour, pour suivre la voie que son père lui avait tracé.


"Bonne fête mon enfant."

De retour depuis près d'une semaine, Hyppolite fêtait maintenant ses quatorze printemps. Elle était devenue une jolie jeune femme, tout juste formée. Elle ressemblait de plus en plus à sa mère, seuls les yeux et le nez en trompette fournissaient la preuve qu'elle était belle et bien la fille, ou plutôt le fils, comme on le disait, d'Eralm. Mais, l'identité de la petite pirate ne pouvait pas rester éternellement secrète. Mais là n'est pas le propos.

Son père ouvrit devant elle un gros coffret, contenant une rapière de toute beauté, apparemment faite sur mesure. Etant formée, la jeune femme ne grandirait sans doute guère beaucoup plus, atteignant le mètre cinquante. Et sa petite taille avait donné  l'idée à Eralm de lui faire faire ses armes sur mesure. La rapière était la première d'une longue liste. L'arme était équilibrée, légère, parfaite pour un jeune homme qui était en réalité une jeune dame. Elle avais déjà appris à en faire usage, mais grâce à cette arme, son père put l'entraîner plus intensément, sa fille retrouvait une souplesse imparable. Il compléta la collection d'un jeu de dague et d'un sabre les deux années suivante...

L'année de ses quinze ans fut l'année de la vérité. On ne pouvait cacher que l'on était une fille avec le temps. Et cette année là, le popotin d'Hyppolite attira le regard de certains des marins plus que de raisons, et beaucoup se mirent à douter à son sujet. Ce n'est qu'en l'espionnant qu'il découvrir la sombre vérité. A défaut d'une mutinerie, ils attendirent d'arriver au port en hurlant à leur chef que c'était eux ou elle. Tenant à son équipage plus qu'à son propre enfant, Eralm laissa sa fille au port, avec des consignes bien précise. Cette année-là ne fut pour elle qu'assassinats et vols. Elle voulait faire ses preuves, et elle les ferait. Elle savait que sa vie, c'était la mer, et ne pas voguer sur ces flots bleus et houleux lui manquaient atrocement.  


La sociabilité n'était vraiment pas le fort d'Hyppolite. Cependant, elle se fit un compagnon d'armes, qui ne l'accabla pas du fait qu'elle était une femme. Elle pouvait ferrailler avec lui toute une journée durant, sans ne penser à rien d'autre. Il l'accompagnait souvent lors de ses méfaits, faisant le guet en général, Hyppolite ayant assez d'agilité pour fuir si nécessaire, ce qui ne lui arrivait que très rarement... En deux ans, cela ne lui était véritablement arrivé qu'une seule fois. Ces journées étaient ponctuées d'entrainement au sabre ou à la rapière, et elle était devenue ce qu'on appelle une fine lame. Sa réputation était faite sur l'île et beaucoup blâmaient les superstitions des hommes du Capitaine Borlock car Hyppolite était bien meilleure que beaucoup d'entre eux, à présent.

Les rêves d'Hyppolite se réalisèrent l'année de ses dix neufs printemps, et ce, malgré le drame qui les provoquèrent. Le capitaine Eralm Bollock rentra blessé et malade après près de deux années en mer. Ces blessures étaient gangrénées faute d"avoir été soignées. Et, avant de rendre son dernier souffle, un soir d'automne, il nomma Hyppolite comme l'héritier de tous ses biens, y compris son navire et ses hommes... Ce qui révolta ces derniers, bien entendu. Ils la quittèrent tous, sans le moindre remords, laissant derrière eux tout ce que leur Capitaine leur avait appris. Bien entendu, ils gardèrent leur butin, et la majorité quitta l'île. Eralm leur avait fait jurer de ne pas révéler le secret de sa fille, et ils tinrent leur langue. Ce fut la dernière chose qu'ils firent pour lui.

Après la période de deuil de six mois, elle reprit la mer, avec une trentaine d'hommes, dont la plupart était des déserteurs ou de jeunes formés qui avaient entendu vanter ses mérites. Elle nomma Georges, son frère d'armes, qui était également devenu son amant, comme étant son second. Mal en pris à ceux qu'il l'avait quittée à cause de leur fierté. Bien qu'elle soit une femme et qu'elle n'en ait informé personne, mis à part son second, Hyppolite avait de l'autorité. Elle savait se faire obéir de ses hommes, et surtout, en mer, elle savait faire plier ses ennemis. Elle considérait les hommes qui l'avait quittée à cause de son sexe comme des lâches et des moins que rien. Elle en croisa sur certains bateaux "concurrents". Aucun d'eux, ni de leur équipage, n'en ressortirent vivants. Elle avait la rancune tenace. Elle devint une capitaine dure et inflexible. Mais, contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle se montrait d'une courtoisie sans faille envers tous ses prisonniers, pour peu qu'elle ne les considèrent pas comme un ennemi. Pas de viols ni de violence, et toujours, elle prenait soin de les déposer à terre une fois qu'elle les eut dépouiller de leurs biens. Elle était la compassion même envers eux seuls, et surtout envers les dames, ce qui en étonna d'ailleurs plus d'un. Mais cela seulement pour les passagers dont le bateau avait bien voulu se rendre. Les soldats ? La planche, la pendaison, ou attachés à son mât où ils mourraient de faim. Un refus de se rendre ? Elle tuait tout le monde et coulait le bateau. Et bientôt sur les continents, on entendit parler de la souris des mers et des océans, surnom qu'on lui donna et qu'elle porte toujours. Son équipage lui vouait corps et âme, elle était portée par la chance et elle espérait bien que cela durerait autant que possible.

Fort heureusement pour elle, ses exploits arrivèrent avant que son équipage ne découvre qu'elle était une femme. Après une grave blessure en mer qui lui valu une cicatrice en travers de la poitrine, ses hommes ne purent que constater qu'elle était belle et bien une femme, le bandage enserrant son torse ayant été déchiré par la lame ayant provoquée la blessure. Le choc fut rude pour ces hommes qui vénéraient leur capitaine et qui sacrifieraient leurs vies pour sauver la sienne. Puis, un homme, auquel il manquait une oreille se mit à hurler à la trahison, commençant à être suivi. La jeune femme était toujours debout, malgré la blessure plutôt profonde, elle s'avança vers lui et le priva, d'un coup de sabre, de la seule oreille qui lui restait. Un silence de plomb s'était installé sur le pont. Le sang de la capitaine goutait sur le bois ciré du pont. Puis, elle annonça d'une voix froide.

"Qu'on l'attache au mât !"

Chose qui fut immédiatement faite. Elle ne s'effondra que dans sa cabine, près de son second, alors qu'elle avait la fièvre et perdu énormément de sang. Elle fut heureusement vite soignée, et malgré sa convalescence longue, la blessure n'étant pas superficielle, elle était là, agissant comme elle l'avait toujours fait avec ses hommes, prenant certes soin d'eux, mais leur montrant également qu'elle était l'autorité sur ce bateau. Elle força le respect de ses hommes pour elle, et, quelques temps après, il n'était plus question d'hommes ou de femmes. Elle était de nouveau devenue leur capitaine.

Elle passa près de neuf années en mer, ne quittant le navire que pour ravitailler, se soigner ou décharger le butin. Elle était sous la coupe de la chance, elle le savait, mais ses hommes, tout comme elle, avait besoin de repos. Ils avaient livré des batailles plutôt sanglantes, Hyppolite en gardait des preuves évidentes, la plus frappante étant cette cicatrice qu'elle porte sur l'épaule gauche, faite par un capitaine plutôt malin qui ne voulait pas en démordre. Elle en portait plusieurs, et elle disait à tout ceux à qui elle en parlait qu'elles racontaient seulement son histoire. Mais beaucoup étaient cachées par ses vêtements.

Ce fut lors de cette halte qu'elle entendit parler de la perle noire de Ni'Wan, perdu sur l'île de Rathloriel. Une île magique était, disait-on, sous le contrôle d'une créature maléfique. Il en fallait bien plus pour l'effrayer. On disait également que cette perle était un trésor inestimable et qu'elle valait bien plus que tous les écus de l'île. Beaucoup pensaient cependant que ce n'était qu'une légende. Mais Hyppolite, elle, se laissa convaincre. Ses hommes avaient besoin de profiter de la vie, et une petite pause dans la piraterie ne leur ferait pas de mal, surtout avec tout l'or qu'ils avaient amassé au cours de ces sorties en mer. Il fallait bien qu'ils le dépensent, et ils en auraient bien pour quelques temps.

Elle confia son navire à Georges la seule personne en qui elle avait réellement confiance et elle savait qu'il ne la trahirait pas. Et, après avoir embrassé sa mère chérie, elle prépara ses malles et partit en direction de cette île magique. L'aventure l'avait toujours captivée, et elle se sentait revivre. Neuf années de piraterie avait fini par la lasser, mais là, même si c'était la terre, cela lui était inconnu. Heureusement pour elle, peu de personnes savaient à quoi ressemblait la souris des mers, et elle passait souvent, auprès de tous, pour un jeune adolescent en fugue, ce qui était assez courant.

Ce fut ainsi qu'elle posa le pied, un mois et demi plus tard, sur la côte de Rathloriel, et qu'elle se rendit à Nhaundar. Des marins avaient eu la gentillesse de faire porter ses malles à la taverne. Elle risquait de rester un bon moment. Elle était habillée d'habits modestes et n'avait que cela. Elle ne voulait pas se faire voler. Ce fut ainsi que commença cette aventure à Nhaundar, dont elle ne connaissait guère la fin, mais qui la mettait en liesse.

PNJs ? : Un oiseau, dont elle ignore la race et qui semble s'être attaché à elle. Il se consume avant de renaître de ses cendres. Elle l'a nommée Altro.

Spoiler:

Pouvoir ? : Aucun. Elle n'a que sa souplesse, sa dextérité et sa capacité à se faufiler partout. Elle est également ambidextre.

Armes ? : Une rapière :

Spoiler:

Un sabre :

Spoiler:

Quatre dagues : deux à la ceinture (une de chaque coté), une à la cuisse gauche et la dernière dans la botte droite.

Spoiler:

Pseudo : Miss cata
Âge : 24 ans
Comment as-tu découvert le forum ? : Par une amie
Ta fréquence de connexion par semaine ? : On va dire une à deux fois par jour grand maximum
Code du règlement :

Merci à vous. Et messire Toroth, mon amie m'a déjà parlé de vous. Je viens de mettre le début de mon histoire, en espérant que cela convienne et que je puisse poster la suite dans la soirée.

Ça me fait plaisir de voir que cela vous plait ! Vu le temps que j'y ai passé (et les choses que j'ai du modifier soit dit en passant  ), la validation est d'autant plus plaisante. Pour ce qui est de la signature, je demanderai à mon amie de s'en charger, pareil pour mon avatar.  

Et soit dit en passant, ce qu'elle m'a dit sur vous restera entre elle et moi