Nhaundar
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 Elhia Armond

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Elhia Armond

Elhia Armond


Messages : 6
Date d'inscription : 17/10/2013

Elhia Armond Empty
MessageSujet: Elhia Armond   Elhia Armond EmptyVen 18 Oct - 21:35

Carte d'identité



Nom (Facultatif): Armond
Prénom : Elhia
Âge : 298 ans (apparence 19 ans)
Race : Vampire
Taille : 1m56
Poids : 50kg


Vous et Nhaundar


Caractère : Elhia peut paraître très douce au premier abord, avec son air enfantin et son visage de poupée de porcelaine, malgré la froideur qu'elle dégage. Mais c'est loin d'être le cas ! Douce, ce n'est que le visage qu'elle se donne. Au contraire, elle peurt se montrer très brutale au niveau des paroles. C'est une femme posée et réfléchie, qui ne s'énerve que très rarement. Cependant, quand elle a une chose à dire, elle n'y va pas avec le dos de la cuillère, et le mot tact ne fait pas vraiment parti de son vocabulaire. Cependant, elle est de nature très sociale, car elle a peur de la solitude et préfèrerait se mettre à la lumière du soleil plutôt que d'être confrontée à une vie solitaire, qui est pour elle une phobie.

Elhia est une personne assez orgueilleuse. Elle ne cachait jamais sa fierté, non, elle ne s'en vantait pas, il suffisait de regarder son visage, c'était suffisant pour comprendre. Cependant, malgré ses défaut, elle reste fidèle, loyale et la trahison est pour elle pire chose qui soit en ce bas monde.

Physique : Elhia a un visage très enfantin, qui a d'ailleurs failli lui apporter quelques problèmes lors de sa naissance vampirique. Elle est malgré tout jolie, et elle le sait parfaitement, avec ses grands yeux verts clairs, son teint pâle et ses lèvres charnues roses et ses longs cheveux bruns... Elle est assez petite, de corpulence normale et bien proportionnée, et ça elle le sait et en joue. Malgré le fait qu'elle soit vampire, elle est très coquette, toujours à la dernière mode, ne supportant pas de ne pas être habillée par le dernier tailleur en vogue de la région. Elle se maquille toujours très sobrement mais très élegamment, et se parfume avec la même discrétion gracieuse.

Histoire : I/ Ma vie avant...

Il fut un temps où les cratures magiques et non magiques vivaient en paix en ce bas monde, où tout n'était qu'amour, beauté... Mais c'est du baratin tout ça, flûte quoi ! Un conte de fées que l'on fait croire aux enfants ou aux personnes crédules ! Et croyez-moi, sur cette terre, il y en a beaucoup plus qu'on ne le pense, je vous le garantis. Moi par exemple ! J'ai été colmplètement idiote et stupide, et aujourd'hui, je suis là et je vous regarde du haut des mes trois cent années en vous plaignant sincèrement.

Je suis née dans un petit village perdu dans la campagne, il y a de cela près de trois cent années. Un petit village d'à peine vingt âme, et je n'ai eu pour seule compagnie durant mon enfance, que les vaches et les cochons. Sympatique pour une petite fille, n'est-ce pas ? Les enfants étaient soit trop grand et refusaient de jouer avec une petite, comme ils disaient, et les petits.... Ils s'amusaient a me tirer les cheveux et à me jetter des cailloux. Non, on ne peux pas vraiment dire que j'ai eu une enfance heureuse. Ayant toujours été petite, en plus de cela, je recevais moqueries à longueur de journée. J'ai passé une enfance solitaire, et sincèrement, je préfèrerais mourir que de vivre à nouveau dans la solitude.

En fait, les gens ont vraiment commencé à s'intéresser à moi lors de mon adolescence. Je m'embellissais, je le savais. Mais ce fut aussi pour moi une periode assez dure... A vrai dire, ma vie humaine, maintenant que j'ai assez de recul, je la détestais littéralement. L'année de ma quatorzième année, mon père est mort dans les champs, fauché. C'était involontaire de la part de l'ouvrier qui ne l'avait pas vu. Mais vous savez certainement aussi bien que moi que la justice des hommes est partiale et sans pitié. En trois jours, j'ai perdu mon père et un ami, qui fut pendu haut et court. Dès cet instant, je sus que ce village n'avait jamais été le mien, un village qui m'avait rejetée enfant et qui comettait chaque jour de plus en plus d'injustices. Ma mère n'avait plus le temps de s'occuper de moi, entre temps,  j'avais eu deux frères et une soeurs. Elle devait s'en occuper, en plus du travail à la ferme, et je la soutenais comme je pouvais. Mais j'en avais assez de cette vie, et je savais que je n'étais pas la seule.

Ma famille et moi quitâmes le village la veille de mes seize années. Les dernières récoltes avait bien rapporté, et mère avait très mal vécu la mort de mon père et la pendaison injuste qui s'en suivit. Nous nous installâmes en ville, maman trouva une place pour faire les marchés. Et moi... Moi, je cirais les chaussures des passants durant mon temps libre, où je ne m'occupais pas de mes frères et soeur, essayant de nous ramener au moins quelques piécettes pour alléger ma mère. C'était dur, et de là, sincèrement, tout à commencer à dégénérer.

II/ Etreinte

La vie dura ainsi pendant deux années. Si on pouvait appeler ça une vie... Maman était absente une partie de la journée pour travailler, et moi quand elle rentrait, j'allais cirer les chaussures des passants jusque tard dans la nuit. La ville était vivant et bougeait jusqu'à facile deux voir trois heures du matin. J'étais épuisée au départ, mais j'avais rapidement pris le rythme, me plongeant dans les différents travaux que j'avais à faire pour échapper un peu à la vie minable que j'avais.

Ce fut lors d'une de ses soirées où je cirais des chaussures que je le rencontrais. Grand, brun, les yeux noirs, il avait tout de l'homme ténébreux qui faisait tomber toutes les femmes. Il aurait pu me plaire sur le coup si je ne m'étais pas renfermée dans ma bulle à l'époque, ne faisant plus confiance à personne. Et puis les hommes. Malgré le fait que j'étais en âge de me marier, je n'y pensais pas, j'avais trop de choses auxquelles réfléchir pour réfléchir à des minauderies minables. Je ne regardais même pas son visage quand il posa son pied sur mon bac.

"Comment une femme aussi belle peut-elle faire une chose aussi ingrate?"

Ce fut la première fois que je le regardais. Bon, je l'avoue, je m'étais sentie légèrement troublée. Il était bel homme, il fallait bien l'admettre. Plus âgé que moi, il devait avoir dans la trentaine. Mais je ne répondais pas à la question. Ce qui me troubla le plus, ce fut qu'il me donna un écu d'or pour avoir seulement cirer des chaussures ! Cela permettrait à ma mère de faire le marché et nous nourrir pour quelques jours. C'était la première fois que je voyais une telle générosité. Et ce n'était pas fini.

Il revint tous les soirs, alors que ses chaussures étaient toujours très bien cirées et très prorpres.  Il se montrait toujours très charitable. Jusqu'au soir où il m'apporta à manger, un simple morceau de fromage avec du pain. Je me sacrifiais pour ma famille. Chaque jour, je devais donner mes maigres ressources à ma mère, qui, soit disant, nourrissait et habillait la famille. Et je la croyais. Je ne mangeais qu'une fois par jour, pour le peu que je faisais, comme disait ma mère, cela devait suffir. J'étais donc affamé. L'homme s'appelait Helius, il était rentier dans la rue dans laquelle je travaillais. Il m'avait remarqué depuis longtemps, mais ne voulait pas me brusquer. Toutes ses phrases me firent un bien fou, je dois l'admettre. Je me sentais comprise. Alors je lui ai raconté ma vie.... Il m'épaula lorsque je fondis en larmes. Mais il était sombre, et ne dit rien. Il me donna deux écus ce soir-ci, en me précisant d'en garder un pour moi, et de faire attention à ma mère. Je ne compris pas de suite ses paroles.

Mais elle germèrent dans mon esprit quelques jours plus tard lorsque je vis ma mère arborer un bijou magnifique mais bien au dessus de nos moyens. Je ne demandais pas d'explications, mais ensuite se fut une robe, puis une paire de chaussures, alors que moi, je portais toujours mes vêtements de campagne, dont certains dataient. Mes frères et soeurs eux aussi commencèrent à être bien habillés, ma mère arrêta peu à peu de travailler pour s'occuper d'eux soit-disant, et je devais mettre les bouchées doubles. Il m'a fallu quelques mois pour comprendre que j'étais devenue en quelques sorte l'esclave de la famille. En plus des tâches ménagères, je travaillais. Je dus trouver des ménages en journée, et faire la boniche pour des riches alors que ma mère se pavanait. Et un jour, où elle recevait, je nettoyais le salon, elle me présenta comme la gouvernante... J'étais outrée. Elle m'avait même reniée en tant que fille ! Le soir même, je rentrais du travail plus tôt, sur la pointe des pieds, préparait un baluchon, volait de la nourriture et de l'argent (quoi que c'était elle qui me volait depuis des semaines, je reprenais juste ma part)  et fuyais cette maison maudite.

Heureusement qu'Helius me rattrapait ce soir-là. J'étais désemparée, perdue dans ce monde qui ne semblait pas être le mien. Il m'accueillit chez lui... Je fus étonnée de voir qu'il possdait un immense manoir blanc, de toute beauté, autant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Il me fit préparer une chambre... Je dormais plus de vingt-quatre heure et m'éveillais le lendemain. On me servit à manger et je me rendormis aussitôt, ne me réveillant qu'en pleine nuit. J'étais parfaitement lucide, et je voulais oublier ma vie d'avant. Helius passa me voir et j'eus la plus grosse surprise de ma vie. Il était vrai que je ne l'avais vu que de nuit, et jamais il n'avait pris un repas avec moi, je mangeais toujours seule. Il m'expliqua qui il était réellement, un vampire et me demanda si je voulais rejoindre leur rang. J'avais à peine dix-neuf ans, je le savais, mais je savais également que je ne faisais nullement parti de ce monde. Il me demanda de réfléchir. Le sur-lendemain dans la nuit, il m'étreint. Je mourus sans vraiment périr. Mon corps allait rester le même durant l'éternité. J'étais moi aussi devenue un vampire.

III/ la vie vampirique n'est pas si simple qu'elle en a l'air

Je restais enfermée dans le manoir des nuits entières. Helius refusait que je sorte, il fallait qu'il m'éduque avant toute chose. Il avait prévenue le Prince de la ville, Berjt, qu'il avait maintenant une infante, chose obligatoire à signaler. Chaque nuit, il m'inculqua tout le savoir qu'il avait, passant de l'histoire aux mathématiques. Il voulait que je sois quelqu'un de cultivé, et maintenant, je sais qu'il a bien réussi. Il m'a également inculqué les lois vampiriques. Chaque nuit, il me faisait apporter, toutes les deux heures, un grand verre de sang frais, ce qui étanchait ma soif accrue par le fait que je venais tout juste de naître.

Je passais trois années enfermées dans le manoir, voyant peu à peu mes libertés s'aggrandir de la chambre à tout le manoir. Enfin je fus prête, au bout de trois années d'éducation. Helius allait me présenter au Prince lors d'un bal. Hélius m'avait expliquer toutes les rumeurs courant sur le Prince, et ne les croyait pas, moi non plus d'ailleurs : il était soit disant cruel, assassinant sans vergogne les femmes qui ne voulaient pas coucher dans son lit. C'était tout simplement absurde. Lorsque je me présentais dans la salle de bal, et m'avançais avant de m'agenouiller devant lui, je n'osais le regarder. Jusqu'à ses mots :

"Et bien, mon cher Helius, vous avez un sacré goût en matière de femme, félicitations ! Votre Infante est charmante, ou du moins elle a l'air, vu qu'elle ne daigne montrer son visage."

Je levais la tête vers lui. J'avais l'estomac noué, je ne savais comment réagir vraiment. Il avait une présence, un charisme énorme. Cependant, son sourire me détendit quelque peu. Il me présenta sa main que je baisais et il me relevait.

"Bienvenue à la cours, Mademoiselle Elhia. Helius m'a énormément parlé de vous."

Je souriais et m'inclinais de nouveau, avant que de nous retirer. Helius semblait pensif mais je n'osais lui demander ce qu'il se passait, il détestait les indiscrétions. Je passais une excellente soirée et j'eus même l'honneur er le privilège de danser avec le Prince en personne. Cette nuit fut magique, je n'avais jamais vécu tel bal ni telle ambiance. C'était formidable.

Le lendemain soir, Hélius fut absent. Il avait laissé une note comme quoi il partait quelques jours et qu'il m'interdisait formellement de sortir sous n'importe quel prétexte, mis à part pour chasser. Je ne comprenais pas. J'avais enfin mériter ma liberté, puisque ma présentation au Prince avait officialisé ma venue dans le monde vampirique. Alors pourquoi ? Je lui obeïssais, bien entendu, je ne voulais pas d'ennuis, mais je ne comprenais pas. Durant son absence, je dus décliner plusieurs invitations du Prince, à des repas ou des bals... L'absence de mon Père dura près d'un mois.

Lorsqu'il rentra, je lui demandais immédiatement des explications. Il avait peur pour moi, c'est tout, m'avait-il dit... Mais cela sonnait fait... Malheureusement, il connaissait mon pouvoir et avait fermé son esprit à toute intrusion venant de ma part. Et cela m'inquiétait de plus en plus. Chaque jour, il s'enfonçait dans un mutisme qui me faisait de plus en plus peur. Mais je ne montrais rien.

Le Prince se déplaça en personne popur venir nous voir. Hélius montra joie et considération, ne montrant pas son vrai visage. Le Prince tiqua, je le sentis même sans lire dans son esprit, mais il ne dit rien, afichant son éternel sourire. Il nous fit une demande qui nous détabilisa tous les deux. Il nous somma de rejoindre la cours et d'habiter directement à l'Elyséum. C'était un grand honneur... Et nous n'avions pas le pouvoir de refuser. Lorsque le Prince partit, Helius me prit dans son bureau.

"Elhia, ma douce, je m'en doutais... Il te veut, il te désire... Prends garde, c'est quelqu'un de très patient, il prendra le temps qu'il faudra... Fais attention."

Je ne le crus pas, le pensant paranoïaque. Deux semaines plus tard, nous emménagions à la cours. Nous nous intégrâmes vite, nos semblables appréciant mon esprit et la délicatesse de mon Père. Je n'avais pas encore saisi toute la portée des paroles d'Hélius... Et je le compris bien trop tard.

IV/ Assassinats publics et fuite vers Nhaundar.

La cours nous intégra vite, comme je le disais. J'étais devenue quelqu'un de très cultivée et de très posée. En quelques années, j'ai su m'attirer les faveur de grands nobles qui fréquentaient de très près la cours privée du Prince. Hélius était chaque jour de plus en plus fier moi et également de plus en plus inquiet. Mais je m'en moquais. Je taisais mes reproches, car je l'aimais, je m'en rends compte à présent. A l'anniversaire des mes cent années, le Prince me nomma comtesse et Hélius fut nommé Duc. J'étais fière, si fière que mon coeur aurait pu exploser à cet instant, s'il battait encore, bien sûr. Mais Hélius ne semblait pas si heureux que ça.

Avec ce titre, j'accédais à la cours privéedu Prince. Bals, repas... Je vécus près de deux cents années de folie festive. Bien entendu, je savais ce qu'était devenue ma mère des années auparavant. Hélius s'en était chargé personnellement à ma demande. Et sincèrement, cela ne m'attristait même pas. La cours était splendide, et je m'y fis de nombreux amis. Notamment, une certaine Corah. Elle était plus âgée que moi, mais je l'adorais. Ce fut elle qui me montra le véritable visage du Prince.... Bien qu'elle en ait été une victime. Un soir, le prince nous annonça à tous l'exécution d'une traîtresse parmi les nôtres, qui aurait donné des informations compromettantes au Prince voisin. Et lorsque Corah apparut devant moi, ce fut le choc. Elle m'avait confiée qu'elle était une des maîtresses du Prince et qu'elle voulait tout arrêter et quitter la cour... Je savais qu'elle devait lui en faire la demande l'avant-veille... Et je ne l'avais jamais revu avant ce soir. Elle semblait faible, les yeux rougis. Ce regard, elle le posa sur moi, suppliant... J'étais prostrée. Elle fut condamné à l'exposition. Le lendemain, on la retrouva, statue de cendre éclairée par la lumière froide de la lune.

Je m'éloignais peu à peu de cette cour que j'avais tant aimé. Je ne supportais plus ce Prince, qui était en fait un assassin froid et cruel. Mais on y échappe pas longtemps. Je m'étais entretenue avec Hélius. Je savais qu'il me protègerait. C'était sans compter sur le Prince, qui chaque jour, me proposait audience, et chaque jour, je refusais, m'inventant des excuses ou en manipulant d'autres. Je ne voulais pas finir dans son lit. Mais on ne résiste pas à ce genre de vampire.

Six mois après la mort de Corah, Hélius disparut. Durant trois nuits, je le cherchais... En vain. Et si le Prince avait mis la main dessus ? Et si il l'avait éliminé ? Mes angoisses se révélèrent justifier quand auy bout du troisième soir de recherche, tout le monde fut convoqué pour une condamnation. C'était lui.... Il fut déclaré coupable de trahison envers le Prince et subit le même sort que Corah. Ce fut la dernière nuit où je versais des larmes. Le Prince me convoqua immédiatement dans sa chambre.... Je savais que j'étais la prochaine, et qu'en éliminant Hélius, il avait fait sauter le dernier obstacle pour m'avoir. J'y allais. Il me déclara qu'il m'attendait le lendemain soir dans son salon privé pour une fête plus "intime". Je savais très bien ce qu'il cherchait. Oui, des vampires, j'en avais eu dans mon lit, Hélius le premier d'ailleurs, soit dit en passant. Et grâce à eux, j'étais devenue une bonne amante... Mais lui, jamais ! Il me révulsait ! J'acceptais cependant, mon don de fouille bloquant celui qu'il pourrait avoir.

Après cet entretien, je me précipitais dans ma chambre et préparait un baluchon. Il fallait que je fuis au plus vite. Je fourrais quelques affaires en vrac dans mon sac et prenait un passage secret qui se trouvait dans ma chambre. Après l'assassinat pur et simple de Corah, Hélius m'avait fait apprendre par coeur le plan du chateau, afin que s'il fallait que je fuis, je prenne le chemin le plus sûr et le plus rapide. Et ses conseils furent d'un grand secours... Je sortait de la ville en moins d'une heure, en grosse partie grace aux ruelles sombres et aux égouts. J'étais libre, opu presque. Il me hantait. Je savais qu'il devait être a mes trousses, j'étais sa proie.

Pendant plusieurs jours me me réfugiait dans les montagnes, passant mes jours dans des cavernes profondes ou je pouvais me reposer. Je ne dormais plus, et je me sustentais comme je pouvais. Je me lavais dans des ruisseau, et survivais grâce au sang animal ou voire celui d'ermites isolés du reste du monde.Je fus heureuse lorsque je tombais sur une ville, une semaine après mon arrivée. Deux vampires m'ammenèrent chez le Prince à ma demande, qui eut pitié de moi. Il me permit de me nourrir et de me reposer. Grâce à la fortune que j'avais récupéré dans les appartements d'Hélius, je pus acheter un bagage plus conséquent et une musette, pour la nourriture. J'expliquais les raisons de ma fuite au Prince Yuli, ce qui ne l'étonna pas. Cependant, il m'encouragea à partir.

"Je ne peux vous garder ici, vous seriez trop en danger, sa ville est proche de la mienne, il vous retrouverait trop rapidement."

Et je comprenais, bien entendu. Il avait raison. Je sentais son regard rempli de haine et de désir sur moi... J'avais peur, je vivais dans la crainte. Je refusais catégoriquement de voyager seule. J'achetais quelques vêtement, dont pantalon  et chemisier pour le voyage, moins visible que mes longues robes. Puis je partais. Je m'arrangeait toujours pour accompagner quelqu'un dans une autre ville, toujours plus éloignée de cette cour affreuse. Puis,  un jour, je ressentis comme un bouleversement en moi... Comme si quelque chose me quittait... je ne me posais pas trop de questions, jusqu'à ce qu'un aubergiste me parle de Nhaundar, quelque temps plus tard. Une ville en reconstruction.... Un refuge où je trouverai peut-être ma liberté de vivre... Je me joignais à un groupe d'hommes et de femmes qui s'y rendait. Je suisvais en silence, la peur et la joie m'étreignant le coeur. J'espérais de tout coeur que là bas, il ne me retrouverait pas et que je pourrais enfin vivre en paix !

PNJs ? : Aucun

Pouvoir ? : Célérité (comme tout vampire)

Fouille : Peut fouiller dans l'esprit d'une personne et y trouver ses secrets, bien entendu en un temps limité et cela la fatigue beaucoup.

Armes ? : Elle a toujours deux dagues sur elle.... où elle les cache, seule elle le sait.



Toi, derrière ton écran, qui es-tu ?



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Âge : Vieille à ce qu'il paraît
Comment as-tu découvert le forum ? : Je l'ai découvert
Ta fréquence de connexion par semaine ? : Souvent
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Elhia Armond
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